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      COMPRENDRE L’HYPOGLYCÉMIE EN 13 QUESTIONS

      COMPRENDRE L’HYPOGLYCÉMIE EN 13 QUESTIONS


      L’HYPOGLYCÉMIE FAIT PARTIE
      DE LA VIE DES PERSONNES DIABÉTIQUES

      L’hypoglycémie est un risque bien connu de la personne diabétique.
      Il a été remarqué que plus de la moitié des diabétiques sous insulinothérapie admettent qu’ils ont peur d’un état d’hypoglycémie et c’est pour cette raison que certains diabétiques préfèrent, à tort, rester en hyperglycémie ce qui ne gêne pas la vie quotidienne, mais qui est extrêmement néfaste à long terme en raison des complications qu’elle entraîne, que d’être en état d’hypoglycémie.



      – AVERTISSEMENT –
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      un diagnostic, lequel nécessite obligatoirement
      une consultation auprès de votre médecin traitant
      .

      Si vous pensez que vous présentez un des symptômes décrits ou si le doute persiste,

      Consultez votre médecin.



      Pr. Salim Djelouat
      Expert médicale certifié en médecine, santé et bien-être – Paris –
      Auteur scientifique
      salimdjelouat@mail.com



      Sommaire

      I – Biologiquement : comment définît-on un état d’hypoglycémie ?
      II – Médicalement : comment définît-on un état d’hypoglycémie ?
      III – Hypoglycémie réactionnelle c’est quoi au juste ?
      IV – Les différentes causes d’un état d’hypoglycémie ?
      1 – Dans le diabète du type 2
      2 – Dans le diabète du type 1
      V – Hypoglycémie chez les personnes non atteintes d’un diabète ?
      VI – Que peut provoquer un état d’hypoglycémie ?
      VII – Est-ce qu’un état d’hypoglycémie est dangereux ?
      VIII – Est-ce qu’il existe un état d’hypoglycémie ou plusieurs états ?
      1 – État d’hypoglycémie « léger » 
      2 – État d’hypoglycémie « modéré »
      3 – État d’hypoglycémie « sévère » 
      4 – L’hypoglycémie qui survient la nuit 

      IX –  Quelles sont les personnes à risque d’hypoglycémie ?
      X – Comment traiter rapidement un état d’hypoglycémie ?
      XI – Que faire pour éviter les hypoglycémies de la nuit ?
      XII –  Comment peut-on prévenir un état d’hypoglycémie ?
      XIV – Les différents moyens de prévention d’un état d’hypoglycémie 
      XV – Conclusion



      I – BIOLOGIQUEMENT : COMMENT DÉFINÎT-ON UN ÉTAT D’HYPO -GLYCÉMIE ?

      Un état d’hypoglycémie se définit différemment chez les sujets sains et chez les sujets diabétiques.

      1Chez les sujets sains –
      On parle d’hypoglycémie lorsque la glycémie veineuse est inférieure à 0,50 – 0,55 g/l.

      2Chez une personne diabétique –
      On définit l’hypoglycémie par un taux de glycémie veineuse inférieur à 0,60 g/l *
      Ou
      Inférieur à 0,70 g/l
      **

      * Selon l’ADA (American Diabetes Association)
      ** selon l’EASD (European Association for the Study of Diabetes)


      Observation
      Ce taux de glycémie peut varier selon l’état d’équilibre du diabète.


      II – MÉDICALEMENT : COMMENT DÉFINÎT-ON UN ÉTAT D’HYPO-GLYCÉMIE ?

      Du point de vue de la médecine, l’état d’hypoglycémie doit réunir la triade de Whipple*, cela veut, qu’on doit trouver 3 critères et qui sont :

      1er critère

      Une baisse d’énergie « subite » et doit être accompagnée de certains symptômes
      Nervosité
      Tremblement
      Faim absolue…, (voir plus bas)


      2ème critère

      Une glycémie (taux de sucre dans le sang), abaissée, (Voir : biologiquement : comment définît-on un état d’hypoglycémie ?)


      3ème critère

      Après prise d’une alimentation ou boisson sucrée, les malaises doivent disparaître.

      Whipple est un chirurgien américain


      III – HYPOGLYCÉMIE RÉACTIONNELLE C’EST QUOI AU JUSTE ?

      Actuellement elle reste un sujet controversé et un dilemme pour la médecine.
      La prendre en charge comme une hypoglycémie ou non.
      Plusieurs personne malade d’un diabète, pensent souffrir d’un état d’hypoglycémie, mais du point de vue de la médecine ne répondent pas aux critères (voir plus haut).
      Une personne malade du diabète peut à un certain moment, se retrouver fatiguer, avoir une baisse d’énergie, montrer de la nervosité, mais son taux de glycémie n’est pas abaissé au point critique.
      Donc cette personne au point de la vue de la médecine ne peut se conclure comme étant dans un état d’hypoglycémie.
      Cet état ne peut résulter que de panique ou de la peur d’être en hypoglycémie et couplé à un effet de stress.
      Il se pourrait aussi, que l’organisme de certaines personnes, peut réagir plus fortement à une baisse de la glycémie, avant que celle-ci ne soit détectée biologiquement.


      IV – LES DIFFÉRENTES CAUSES D’UN ÉTAT D’HYPOGLYCÉMIE

       Il faut différencier l’hypoglycémie du diabète du type 2 et celle du diabète du type 1 et ne pas oublier de parler de celle qui n’est pas liée au diabète.


      1 – Dans le diabète du type 2


      L’hypoglycémie est un effet secondaire et souvent fréquent du traitement du diabète par sulfamides hypoglycémiants des types :
      Gliclazide (DiamicroMD et DiamicronMD)
      Glimépiride (AmarylMD)
      Glyburide (DiabetaMD, EugluconMD)
      Natéglinide (StarlixMD),
      Répaglinide (GlucoNormMD)
      Ou
      Dans le cas d’un changement de posologie dans le traitement
      Des repas pris en retard ou omis
      Aliments consommés très insuffisants en glucides
      Une brusque dépense physique ou un surplus d’activité physique
      Effort physique impromptu, non précédé d’une diminution de dose d’insuline ou d’une collation glucidique
      Consommation excessive d’alcool
      Certains médicaments pris pour traiter d’autres maladies

      Note  
      Par contre les agonistes du récepteur du GLP1 (glucagon-like peptide 1) (Exénatide, Liraglutide) n’ont jamais été mis en cause directement dans des cas d’hypoglycémie chez la personne diabétique.


      2 – Dans le diabète du type 1


      Dans tous les cas, il faut rechercher une cause à l’hypoglycémie, car le plus souvent aucune cause n’est retrouvée et cela devient une grande source de perplexité, de frustration et d’angoisse chez le diabétique.

      Les principales causes de la survenue d’une hypoglycémie dans le diabète du type 1, sont :
      1 – Erreur dans l’injection de l’insuline
      2 – Délai trop long entre l’injection d’insuline et l’ingestion de glucides (risque majoré par la gastroparésie)
      3 – Dose d’insuline excessive par rapport à la quantité de glucides réellement consommée
      4 – Diminution des besoins en insuline lors de la guérison d’événements intercurrents tels que la grippe, une chirurgie, l’arrêt d’un traitement hyperglycémiant (en particulier les glucocorticoïdes), etc…


      V – HYPOGLYCÉMIE CHEZ LES PERSONNES NON ATTEINTES D’UN DIABÈTE ?

      L’hypoglycémie chez les personnes non diabétique peut avoir plusieurs origines (en dehors des hypo -glycémies d’origine fonctionnelle) :

      L’âge
      L’obésité, peut être un facteur déclencheur d’une hypoglycémie
      L’insuffisance rénale, peut entraîner une dénutrition aiguë
      Origine médicamenteuse : anti-arythmiques, antibiotiques, antalgiques, certains antidépresseurs…
      En cas d’hospitalisation, en rencontre aussi des cas d’hypoglycémie et en particulier chez des patients en état de choc, insuffisance cardiaque ou hépatique
      Tumeurs du pancréas et plus particulièrement l’insulinome, qui est une tumeur rare du pancréas
      Tumeurs hépatiques (certaines)
      Intoxication alcoolique, l’alcool fait baisser le taux du glucose dans le sang


      VI – QUE PEUT PROVOQUER UN ÉTAT D’HYPOGLYCÉMIE ?

        Un état d’hypoglycémie peut provoquer les signes neuro-glycopéniques suivants :

      - Faim
       - Étourdissement
      - Perte de conscience
      - Une fatigue, voire une faiblesse
      - Pâleur
      - Sudation abondante
      - Irritabilité
      - Confusion
      - Troubles visuels
      - Maux de tête
      - Difficulté à parler
      - Convulsions…
      - Voir un comportement inhabituel
      
      
      
      

      VII – EST-CE QU’UN ÉTAT D’HYPOGLYCÉMIE EST DANGEREUX ?

      Oui, un état d’hypoglycémie peut être très dangereux, car il peut provoquer des lésions neurologiques permanentes.


      VIII – EST-CE QU’IL EXISTE UN ÉTAT D’HYPOGLYCÉMIE OU PLUSIEURS ÉTATS ? 

      Il existe en réalité trois états différents d’hypoglycémie :


      1 – État d’hypoglycémie « léger » 


      Cet état se manifeste par des symptômes dits « autonomiques » :

      Tremblements
      Palpitations
      Transpiration
      Anxiété
      Faim
      Nausées
      Fourmillements

      Important 
      La personne en hypoglycémie « léger » peut se traiter elle-même.


      2 – État d’hypoglycémie « modéré » 


      Cet état d’hypoglycémie dit modéré, se manifeste par les mêmes symptômes liés à l’état d’hypoglycémie dit léger, auxquels s’ajoutent des symptômes dit neuro-glycopéniques et qui sont :    

      - Étourdissements
      - Faiblesse
      - Confusion
      - Troubles visuels
      - Maux de tête
      - Difficulté à se concentrer
      - Difficulté à parler
      - Fatigue

      Important 
       La personne en hypoglycémie « modérer » peut se traiter elle-même.


      3 – État d’hypoglycémie « sévère » 


        Cet état d’hypoglycémie se traduit par une perte de conscience et il reste heureusement rare.
        La personne diabétique a besoin de l’assistance d’une autre personne pour pouvoir se traiter.
        A ce stade, les valeurs glycémiques sont typiquement inférieures à 2,8 mmol/litre


      4 L’hypoglycémie qui survient la nuit –


      Cette hypoglycémie est marquée par : 

      - Transpiration abondante
      - Cauchemars
      - Sommeil agité
      - Maux de tête au réveil

      Très important
      Les symptômes peuvent varier d’une personne à l’autre et d’un épisode à l’autre.
      Parfois, il arrive qu’aucun symptôme ne se manifeste et plus particulièrement  chez les personnes diabétiques de longue date ou si la glycémie diminue lentement.


      IX – QUELLES SONT LES PERSONNES À RISQUE D’HYPOGLYCÉMIE ? 

      Les personnes à risque d’hypoglycémie sont :

      1 – Les personnes du diabète du type 1, traitées avec de l’insuline
      2 – Les personnes traitées par des sécrétagogues de l’insuline (par comprimés qui augmentent la production d’insuline : voir plus haut)
      3 – Les personnes à risques et qui ne prennent pas en charge leur diabète (leur auto surveillance et leur auto-contrôle capillaire de la glycémie laisse à désirer).
      4 les autres cas ou les personnes diabétiques peuvent faire un état d’hypoglycémie :
      4.1 – Hypoglycémie sévère
      4.2 – Absence de traitement ou traitement mal suivi
      4.3 – Diabète très ancien
      4.4 – Personne traitée par une insulinothérapie intensive
      4.5 – Les enfants d’âge préscolaire et les adolescents
      4.6 – Hypoglycémies à répétition
      4.7 – Insuffisance hépatique
      4.8 – Neuropathie…


      X – COMMENT TRAITER RAPIDEMENT UN ÉTAT D’HYPO-GLYCÉMIE ? 



       Ce qu’il faut faire –



      Le traitement de l’hypoglycémie doit être rapide et adapté

      1En cas d’hypoglycémie légère ou modérée – 
      Prendre :

      - 1 cuillère à soupe (15 ml) de sucre blanc que l’on dissous dans de l’eau
       - 3 morceaux de sucre
      - 1 cuillère à soupe (15 ml) de miel, sirop de table, confiture…
      - ½ tasse (125 ml) de jus de fruits
      - 1 verre de soda

        2 – En cas d’hypoglycémie sévère – 
      Prendre :

      - 4 cuillères à thé (20 ml) de sucre blanc dissous dans de l’eau
      - 4 cuillères à thé (20 ml) de miel, sirop de table…
      - ¾ de tasses (175 ml) de jus de fruits

      Chez l’enfant –
      sucre Il serait préférable d’utiliser que le sucre en morceau, car c’est le seul moyen de pouvoir bien doser la quantité de sucre absorbée, je parle du sucre n°4 et pas des sucres « fantaisies », qui servent de décoration lors de certaines fêtes.
      Il est en plus facile à absorber, l’enfant doit toujours en avoir sur lui (emballage individuel);
      1 sucre pour un enfant qui pèse 20 kg corrige la plupart des hypoglycémies.

      À titre exemple :

      1 sucre

      http://www.ajd-diabete.fr

      Très important 
       15 minutes après, faire un contrôle glycémique et continuer de contrôler



      – Ce qu’il ne faut pas faire –



      1Chez la personne agitée
      En cas d’hypoglycémie et la personne est agitée ou en état de convulsion ou de coma, il ne faut surtout pas chercher à lui faire avaler quoi que ce soit, cas il y a un risque d’étouffement.

      2 Chez les hypoglycémiques inconscients
      Une injection de glucagon.
      Le glucagon sert à faire monter la glycémie.
      L’injection de glucagon doit être faite en cas d’hypoglycémie grave (perte de conscience, convulsions, impossibilité de faire absorber du sucre par la bouche.)
      Il faut, dans ce cas, injecter du glucagon en intramusculaire ou en sous-cutané.
      Cette hormone qui lutte contre les effets de l’insuline est généralement disponible chez les diabétiques car elle est très souvent prescrite par leur médecin et gardée en réserve en cas d’hypoglycémie.
      Le réveil survient alors en 10 à 15 minutes et doit être suivi d’une collation riche en sucre.
      Le repos est là encore conseillé jusqu’à récupération complète.
      Dans le cas ou le glucagon n’est pas disponible et dans les autres cas, il serait préférable d’appeler les secours (pompiers, SAMU….)

      Recommandation
      Dans tous les cas, il est essentiel de rechercher la cause de l’hypoglycémie afin d’éviter que cela ne se reproduise.


      XI – QUE FAIRE POUR ÉVITER LES HYPOGLYCÉMIES DE LA NUIT ?

      1 – S’assurer de la prise d’un dîner correct
      2 – Diminuer la dose d’insuline du soir, s’il y a eu une activité physique en fin d’après-midi
      3 – Vérifier la glycémie au coucher et adapter les doses d’insuline selon les recommandations de votre médecin.
      4 – Si votre glycémie du soir est égale ou supérieure à 1.50 g/l, vous avez peu de chance que vous fassiez un malaise hypoglycémique durant la  nuit.
      5Si votre  glycémie est inférieure à 1,20 g/l, prendre une collation.

      Ce qu’il savoir :
       Les hypoglycémies apparaissent le plus souvent vers 3 ou 4 heures du matin


      XII – COMMENT PEUT-ON PRÉVENIR UN ÉTAT D’HYPO-GLYCÉMIE ? 

      Un diabétique traité par l’insuline ou possède un risque d’hypoglycémie, doit recevoir un enseignement approprié afin de reconnaître les signes de l’hypoglycémie et surtout savoir comme réagir face à ces signes.
      La personne diabétique doit toujours avoir sur elle des glucides à absorption rapide.


      XIV – LES DIFFÉRENTS MOYENS DE PRÉVENTION D’UN ÉTAT D’HYPO – GLYCÉMIE SONT

      1 – Mesurer sa glycémie régulièrement

      one touche véro LifeScan (leader dans le domaine de l’autosurveillance glycémique,), vient de mettre à la disposition des patients diabétiques de type 1 ou de type 2 sous insulinothérapie intensive, un nouveau lecteur de glycémie : OneTouch® Verio® Pro.
       Ce lecteur est conçu pour faciliter la réalisation des glycémies et la prise en charge du diabète grâce à sa fonction unique et innovante qui alerte le patient sur ses tendances à l’hypoglycémie ou à l’hyperglycémie avant repas.
        OneTouch® Verio® Pro est ainsi le premier lecteur de glycémie qui identifie automatiquement les moments problématiques de la journée au cours desquels un ajustement de la thérapie ou du mode de vie est nécessaire. 

      2 – Suivre son plan d’alimentation et l’adapter au besoin, selon les recommandations données par la diététicienne
      3 – Ne pas omettre ses collations ou ses repas et surtout respecter l’horaire de leurs prises.
      4 – Prendre son insuline ou sa médication orale et l’ajuster au besoin, selon les recommandations données par le médecin.
      5 – Lors d’un excès ou surplus d’activité physique, prendre une collation supplémentaire au besoin.
      6 – Si vous prenez un nouveau médicament et même un produit de santé naturel (tisane par exemple), demander l’avis de votre médecin ou de votre pharmacien si il n’y a aucun effet sur la glycémie
      7 – Éviter la consommation d’alcool pour les personnes qui boivent
      8 – Vérifier auprès d’un pharmacien, l’effet sur la glycémie de tout médicament vendu sans ordonnance ou produit de santé naturel, avant de débuter la consommation.

      Mesures préventives associées
      1 – Porter une identification mentionnant qu’on est atteint de diabète (surtout pour les enfants)
      2
      – Informer l’entourage sur les symptômes, l’utilisation du lecteur de glycémie et le traitement de l’hypoglycémie (surtout l’établissement scolaire de l’enfant diabétique)

      3 – Avoir toujours sur soi des réserves de sucre et des collations
      4 – Garder en tout temps, son lecteur de glycémie à portée de la main
      5 – Demander au médecin une ordonnance de glucagon et surtout s’assurer de sa date de péremption.


      XVCONCLUSION

      Il est important de se rappeler que les hypoglycémies peuvent être responsables d’évanouissement, qui peuvent entraîner des chutes pouvant être responsables d’accidents plus ou moins graves.
      L’hypoglycémie est un état de santé qu’il faut prendre très au sérieux et surtout qu’il ne faut pas la banaliser, car à long terme, les hypoglycémies répétées peuvent avoir des conséquences très graves sur la santé.
      Il est recommandé de la traiter rapidement, de prendre toutes les mesures préventives et surtout à la moindre inquiétude, de consulter  un professionnel de la santé.


      Pr. Salim Djelouat 
      Pr. en analyses médicales et Bioclinicien
      Expert médicale en médecine, santé et bien-être – Paris –
      Psychothérapeute
      Auteur scientifique
      Webmaster et blogueur


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      Salim Djelouat

      Pr. Salim Djelouat Professor Medical Analyses and Medical bacteriology / Scientific Author / France & New York, USA Professor of Bio-Clinical Webmaster, blogger Medical Expert certified Author and scientist Author

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